dimanche 11 avril 2010

TUBE NèGRE

TUBE DE DENTRIFRIC$E POUR LE très très PATIENT MR J'AI NOMME (LORD DANS MON COEUR) ELTON JOHN :
ELTON (TROUVER LE TON ELTON) TONNE PUIS TOUT COUP GAGA CHANTE LADY TONE EN LA MINEUR PUIS AU DODO LADY GAGA EN DO MAIS LÀ REPRENANT APRÉS UN SUSPENS AU CHOEUR DU PIANO INSPIRANT LA MORT (HM MMM MM Tm ) la grande tragedienne ouvre sa bouche histoire et sans hysterisie d'avorter ELTON .

Paroles : lady tone bye bye baby etc etc

ETLON se rappelant tout à coup de tout chuchotte en chantant

I LOVE YOU MY DIE BABY GAGA

lady gaga avortant l'avortement tout à coup s'écrie

NO DIE NO DIE I'AM et
(Oh) It's my world blue mama


AAAAAAAAAH (elton john copyright)


souffle coupé de toutes la foule.





b)


le duo en canon
IT's my requiem poor world blue mama baby dada my KINGDOM MY SWEET LORD my old




sur le plateau des operation dans une lumière orange bleuï


faisant appel à TOUT (le MONDE QUOI!)

in execessis my lord
come back dias irae the baby blue mama world
ici TONE LA

bb)
aria de lady gaga :
lalala lalala lalalala la
tone john etcetcetc

bbbC)

le spectre de la TERRE
avorté rescussite et dans un duo enfin terrible

en LA : MERsi Olé
soit : And think different to me i am always here
thank you I love you mama i love papa i am a new world o my sweet mama blue i am the blue word in YOU YOU OOO YOU words'world blue


Elton LADYLALA

hmmm mm do
hmmm do
hmmm do
hm _Dob
m





Numquid Omnes apostoli

(Est-ce que tous les hommes sont des apôtres)


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Tes baisers sont des tracts

Acharnés au tabernacle et frisant le scandale


J’ai besoin d’espace de la musique des sphères et de l’inoubliable poésie

J’ai bousculé mon nom en en faisant l’anathème pour une gloire vaine

J’ai bousculé les deux trois mots qui me faisaient une poésie égotiste pour laquelle je donnais les fleurs de ma mémoire

Et je voulais la transfigurer la prendre dans mes bras comme un enfant !

L’inépuisable vie et sa myriade de points de vue qui éclairent le chemin de l’aveugle (et lui rendent la vision des couleurs imaginées………………



Dans la Cachette intime des Mathématiques

Tu es certes allé aux confins des possibles immoraux aussi et sages d’être allé partout sans revenir de rien

Ta pauvreté t’exclue de la communauté des hommes tu ne comprends qu’une chose de l’univers : que tu n’y comprends rien
SOS SOS SOS
Et ce pour chanter je ne dis pas mieux mais plus justement les choses indicibles de ta vie
SOS SOS SOS
Restent ces deux trois visages s qui te disent tu n’es pas le fou que tu crois
reçois mon baiser aussi futile mais pour lequel éternellement tu désires vivre

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Le ciel est une fourmi rouge qui passe


Je me ferais une tartine de beurre et de miel
Je mettrais une cravate jaune et bleu à petit pois
Je passerais de vie à trépas
Je viderais mon verre de vin
Je glisserais à ton doigt un anneau nuptial
Je mouillerais tes doigts d’un peu de rosée
J’irais avec toi tout au bout du chemin
Et puis tu claquerais ma porte
SOS SOS SOS
Si je disais tout simplement que je t’attends

samedi 3 avril 2010

Une blague du réseau Dieu









LE MANIFESTE

DIEU

























.Ou De l’invention des petites Bosses, nécessaires, et utiles, pour se transformer en grenouilles ou autres. …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… un Texte inspiré à Jean-Marie Vidal ……………………………………………………………………………………………….. Chartres, Beauce, France, …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..2008-03…………………………………………………………



Le soleil est un cercle-point

Vous êtes en relations

Des relations soleils .


CIELS !


J’aime . je suis en paix . je vis ! je vis !









1

Ces petites Bosses,











..dont les fabriquant, ces artisans, de pattes de grenouilles, découpent au marteau du grand Soleil vivant, sur les torsions de la surface des avions, des moteurs, des yeux-palpeurs, ces petites Bosses que nous cherchons .





( Le Livre BLING BLING . hurry go ouragan my baby shoots like her love storm loose for me in the temple of Jesus . Le Livre Bling Bling . Bang ! says my babe gun , my babe’s gun , my gunny’s babe , my storm babe , bang she sings a ding dong & le libre Livre Bling bling in my love never loose loose in a storm .

Return my love

Return my love

Return you my loves .

Bang (a) Bang .

Le Livre bang for babe for dad for mam Bling (a) Bling . GOD WHAT’S WORLD is full of word’s WORDS & BANG . bling (a) bling says the storm books of mon livre bling & blang . So babe (my gun, my shoot, my bomb, my sex, my storm, my sorry, my loose and my win in the temple of Jesus says and sings jesus in her and me) storm of love sings enfin the PEACE .

Return to love

Return to love

Return to love

Return to PEACE the Love .

BANG & BANG

My dady old up is always lots of millions and millions of so cute kisses .)







Il faudra étudier les lésions de l’adhésif écho sur les parois d’ardoise verte de nos tableaux noirs nos craies de toutes les couleurs dessinant les

..formules mathématiques qui courent aux bouts de nos doigts .. Dessinant nos Rêves d’ingénieurs polygraphes ,, Ce calife, jouant aux échecs avec un diplomate des montagnes, n’aurait pas du s’allonger au sud et au nord un whisky à la main pour siffloter un air de majorette car les montagnes sous les eaux favorables au matin laissent encore aux ruses des montagnards l’espièglerie d’économiser ses milles larcins aux arbres êtres, aux roches forces, et aux caribous sur la glace, que le diplomate des montagnes désigne habile faiseur de Destin en servant un café au calife qui siffle tadatatadadatata da da da tadatatatada ta ta da da _ da _ da doum dam tada tata da doum tada _ da _ daa .

( (il est à noter tenu de main incertaine que la glace peut parfois rimer à la manne glanée du ciel car il est dit que les étoiles microscopiques des lacs gelés viennent directement des ciels ) (et :)

( Il connaît les paradis câlins ,, Elle est retrouvée l’Eternité ; C’est la paix ! .. )

comme un petit cercueil , attendant les autres .

L’ECHO PARTICIPE AU VERBE

..Quant à narcisse il fait rien qu’à mugir dans nos féroces campagnes .





C’est des cheveux tournés dans le ciel , sur notre lit inversés ,, voilà ce recommence (ta) mon ombre, dans les famés latins, dérive ses aces

sur des accompagnements à la guitare électrique sur saturée de le zeppelin , puis d’un coup , je me courbe sur une rengaine swinguant de petites claquettes des doigts clapclap clip clap clipclip clapclap CLAP ! Billy Jim et la cloche qui sonne ; La nuit se faisait vacarme de tous les marteaux frappant sec les cordes de la Musique des Sphères Putain une âme ! Vasons ! Visons ! Transvasons ! Torchons !…

Broons sur tous les orifices les trois que les Dieux t’ont donnés le sang sur la libido la cour de ma voisine hurle en murmures inasssssssssouvie. ,, Coups dans le Destin comme au tambour du Dr Jectisse ; Hello Allah WUKBAR . Comment dites vous « Dieu Le Miséricordieux » ?

Pendant ce temps , ces moments inasssssouvies , ces instanées éternisées , BoubaCœur l’imam de la Mosquée de Paris tenant une rose un matin prenait un café dans le soleil d’Iran, l’eau dans le puits - le puits dans la Terre, pour citer inapropos Henri Michaux et ce d’une intention fortement ésotérique au sens Perse de/en Conflit , compuctions , avec ce texte , nous répétons , Ceci est, à mon sens, La Vérité . ,

,, Une femme-Volonté d’Allah, l’avait inscrit ainsi au Mechtoub qu’il régnât sur Constantine sous les charmes d’une pareille à la femme de la ruelle dans une gorgée de café amer comme la mort, chaud comme l’amour, sucré comme la vie , collée sur les lèvres en un nuage crémeux qu’il laissa (se) déposer, reposer, colorer, sucrer ses lippes, sans rien dire : épouse du calife dont les poètes charmés oublièrent le nom, il oublierait ton nooooom, passons, et cette incertitude me fait très mal au cœur, ton NoooOOooom , et cette blessure c’était toi . (Ah si tu n’existait pas etc,, etc,, etc,,)

..sur des accompagnements à la guitare électrique sur saturée de le zeppelin , puis d’un coup , je me courbe sur une rengaine swinguant de petites claquettes des doigts clapclap clip clap clipclip clapclap CLAP ! Billy Jim ! et la cloche qui sonne dans chaque église de la Terre son coup de la demie que 44% des Français peuvent entendre de chez eux d’après les sondages ; La nuit se faisait vacarme de tous les marteaux frappant sec les cordes de la Musique des Sphères ! .. ..Putain une âme ! Vasons ! Visons ! Transvasons ! Torchons ! Broons sur tous les orifices les trois que les Dieux t’ont donnés le sang sur la libido la cour de ma voisine hurle en murmures inasssssssssouvie, coups dans le Destin comme au tambour du Dr Jectisse ; Hello Allah WUKBAR . Comment dites vous « Dieu Le Miséricordieux » ?

un Texte inspiré à Jean-Marie Vidal. une dernière fois j’oscille de gauche et de droite et j’éjacule mon foutre par la fenêtre où passent les corbillards de mon Résumé

282__ « Mais dans un conte de fées le pot aussi peut voir et entendre ! » (Certainement, mais il peut aussi parler).

« Mais le conte de fées ne fait qu’inventer, ce qui n’est pas le cas : il ne dit pas de non-sens. » Ce n’est pas aussi simple que cela. Est–il faux ou dépourvu de sens de dire qu’un pot parle ? Imagine-t-on clairement les circonstances dans lesquelles nous pourrions dire d’un pot qu’il parle ? (De même un poème de « non-sens » n’est pas un non-sens comme le sont par exemple les balbutiements d’un enfant.)

En effet, nous disons d’une chose inanimée qu’elle souffre : en jouant avec des poupées, par exemple. Mais cet emploi du concept de douleur en est un secondaire. Imaginez le cas dans lequel des gens n’attribueraient de la douleur qu’à de l’inanimé ; ne s’apitoieraient que sur des poupées ! (Quand des enfants jouent au train, leurs jeux sont liés à leur connaissance des trains. Il serait néanmoins possible pour les enfants d’une tribu, ne connaissant pas les chemin de fer, d’apprendre ce jeu par d’autres, et de jouer sans du tout savoir que ce serait là l’imitation de quelque chose d’existant. On pourrait dire que le jeu n’a pas le même sens pour eux que pour nous.)

Tractactus logico-philosophicus , Wittgenstein.



Cuisses rondes, buste, rond tête ronde. Mais ces yeux ? Obliques, dégringolés, percés. Mais entre-deux yeux ? Si grand, si grand, si vide. Pour avaler quoi, avec ce vide ?

Lézard tenace et dur comme le guet ,il attend, ce Meidosem. Sans ciller, dans l’espoir de se remplir, il attend…

La vie dans les plis , Henri Michaux .



… Quelle étrange chose au début, ce courant qui se révèle, cet inattendu liquide, ce passage porteur, en soi, toujours et qui était.

On ne reconnaît plus d’entourage (le dur en est parti).

On a cessé de se heurter aux choses. On devient capitaine d’un FLEUVE…



On est pris d’une étrange et dangereuse propension aux bons sentiments. Tout est pente. Les moyens déjà sont PARADIS. (c’est J-M VIDAL qui souligne . note de l’auteur)

On ne trouve pas les freins ; ou pas aussi vite qu’on ne trouve le MERVEILLEUX… (idem . note de l’auteur)

On met en circulation une monnaie d’eau.

Comme une cloche sonnait un malheur, une note, une note n’écoutant qu’elle-même, une note à travers tout, une note basse comme un coup de pied dans le ventre, une note âgée, une note comme une minute qui aurait à percer un siècle, une note tenue à travers le discord de la voix, une note comme un avertissement de mort, une note, cette heure durant m’avertit.


Dans ma musique, (et dans la mienne donc ! note de l’auteur) il y a beaucoup de silence.

Il y a surtout du silence. Il y a du silence avant tout qui doit prendre place. (et chez moi ce silence est au sein bien souvent de Musiques , vivant , extrèmement puissant Silence aux écrins de Musiques , et dont la suite parle avec précision , efficacité , érosions de la Musique , et Musique des Sphères Silencieuses de mes Ecritures . Note de l’auteur)

Le silence est ma voix, mon ombre, ma clef… signe sans m’épuiser, qui puise en moi. Il s’étend, il s’étale, il me boit, il me consomme.

Ma grande SANGSUE (c’est J-M VIDAL qui souligne . note de l’auteur) se couche en moi.

L’espace du dedans , Henri Michaux.



Ignorant , celui qui croit que l’âme peut tuer ou être tuée ; le sage, lui, sait bien qu’elle ne tue ni ne meurt. L’âme ne connaît ni la naissance ni la mort. Vivante, elle ne cessera jamais d’être. Non Née, immortelle, originelle, éternelle, elle n’eut jamais de commencement, et jamais n’aura de fin. Elle ne meurt pas avec le corps.